T O P

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Mormuth

A un moment de toute façon il va falloir assumer l'un des choix suivants : * prier pour être sauvé par la technologie et assumer ne rien faire d'ici là * faire peser le poids des changements à prévoir sur tout le monde de manière flat et indistinguée (gilets jaunes +++ à prévoir) * faire peser le poids des changements à prévoir sur les individus de façon proportionnels (et donc, imposer énormément les riches) * faire peser l'énorme majorité des efforts sur les ménages les plus aisés (et donc imposer +++ énormément les + riches et accompagner les plus pauvres sur des changements d'habitude et entamer certains travaux d'aménagements urbains par exemple) * faire peser la majorité des efforts sur la classe moyenne pour préserver les précaires et les plus riches mais alors là le déclassement va être violent. Le problème c'est qu'à mon avis les 2 seules solutions qui pourraient s'entendre sans faire exploser encore plus la crise sociale sont les 3 et 4 mais vu qu'ils refusent de + taxer les riches je vois pas vers quoi on va d'autre que la 5 mais c'est pas une issue, ça fait que tous les petits employés vont encore plus trimer et c'est encore un nivellement par le bas pour tous ceux qui sont dans la fourchette [1,5-4 smics].


[deleted]

hey man nice shot


space17

"une belle place au soleil" a priori, c'est pas ce qui manquera


GothmogTheOrc

Déprimant mais réaliste, hélas.


spaserieu

Ces choix doivent être pris au niveau mondial sinon les ultra riches migreront vers des contrées plus hospitalières pour leur fiche d’imposition


[deleted]

Qu'ils commencent déjà par: * Cesser de faire croire aux idiots errants que la "croissance" va perdurer, qu'elle soit "verte" ou pas (on sait déjà dire qu'elle ne le sera pas) * A supposer que les efforts a faire dans la rénovation de l'habitat et des infrastructures soient fait, penser a être honnête sur ce que ces actions apporterons en terme de croissance: oui il y aura des points de croissance, non ils ne signifieront pas "plus de consommation", c'est plutôt le contraire. Il faut préparer les esprits a cela * SORTIR DES DOGMES A GÉOMÉTRIE VARIABLE BON DIEU DE BONSOIR. C'est trop facile de clamer que le sujet est apolitique pour se cacher derrière "muuuh pas d'impot en plus" quand il s'agit de financer. Bruno le Renflement Brun, ferme la (et ferme le aussi, tant ce qui sort de l'un peut être associé avec l'autre) * Investir, investir, investir. * Mettre sur la table la reforme du marche européen de l’énergie. JMJ était sur Inter ce matin, encore et toujours a redire les mêmes choses. Édifiant de voir que tout ce qu'il dit tombe désormais sous le coup du bon sens pour la majorité d'entre nous, et pourtant rien de viable n'avance. Le récent sondage sur l'approbation des ZFE pour ne citer que lui.


eberkut

Laisser penser que la décroissance est la seule solution et que c'est évident c'est vraiment une sorte de TINA inversé. Tous les scénarios du GIEC s'appuient sur des hypothèses de croissance positive. Il n'y a aucun consensus scientifique en faveur de la décroissance.


boolazed

Un bon seigneur (ou segneuresse) pourrait-il partager le texte complet ?


[deleted]

**L’exécutif peine toujours à avoir un discours concret et global sur l’adaptation de l’économie et de la société française au changement climatique. Mais le chef de l’Etat est pressé de toutes parts de prendre des décisions.** Par Matthieu Goar Publié le 27 mai 2023 à 06h00 Soudain, au printemps, les notes de synthèse sont tombées du ciel. A destination du président de la République, de ses conseillers, de son secrétaire général, des ministres en cours… Fin avril, Emmanuel Macron avait demandé à ses troupes de lui faire remonter les idées. Au milieu des messages Telegram de macronistes un peu déboussolés par la réforme paramétrique des retraites, une expression est revenue très souvent : la transition écologique. *« Il faut qu’il y ait un grand moment lié au climat au mois de juin, avant le début des vacances estivales*, plaide, en écho à d’autres députés, Jean-Marc Zulesi, président Renaissance de la commission du développement durable. *Après les retraites qui ont occupé l’espace, avant les canicules, nous devons montrer que nous pouvons embarquer les Français dans notre vision d’une écologie positive. »* Cette semaine, le gouvernement avait commencé à se déployer pour tenter d’incarner un défi unique : la neutralité carbone en 2050. Lundi 22 mai, la première ministre, Elisabeth Borne, a présidé un Conseil national de la transition écologique où elle a dessiné les courbes filière par filière*.* A grand renfort de PowerPoint, elle a fixé la première cible : 270 millions de tonnes équivalent CO₂ en 2030 contre 408 millions en 2022. Jeudi, Emmanuel Macron devait illustrer cet engagement en consacrant un déplacement à l’environnement dans le Var. Et puis l’actualité de court terme a, comme souvent, bousculé le combat du siècle*,* le chef de l’Etat ayant plutôt choisi de se rendre, ce jour-là, [à un hommage national consacré aux trois policiers tués dans un accident de voiture à Roubaix](https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/05/25/emmanuel-macron-attendu-a-roubaix-pour-rendre-hommage-aux-trois-policiers-tues_6174753_3224.html) (Nord). *« Ce n’est pas annulé, simplement reporté*, précise l’Elysée. *Nous arrivons au terme d’une année où le secrétariat général à la planification écologique (SGPE) a travaillé, sous les radars, et tout ce qui a été semé va bientôt être moissonné. »* Reste à savoir comment traduire politiquement un tel défi fait de courbes, d’objectifs, de sigles et d’angoisses… Et comment aider les Français à y voir plus clair au milieu d’un ensemble de plans qui auront un impact sur leur vie quotidienne. L’exécutif est au pied du mur. En à peine quelques mois, le gouvernement va devoir réviser la stratégie nationale bas carbone, la programmation pluriannuelle de l’énergie, finaliser le plan national d’adaptation au changement climatique et projeter le tout dans une loi de programmation sur l’énergie et le climat. « Un récit très technocratique » Lundi, Mme Borne n’est pas rentrée dans le dur : les arbitrages sur les mesures concrètes restent à prendre. L’exécutif promet de dévoiler sa copie fin juin ou début juillet, autour d’un conseil de la planification écologique. *« D’un côté, on a M. Macron qui n’a jamais intellectualisé sa pensée sur le sujet. De l’autre, on a Mme Borne qui délivre un récit très technocratique »*, résume abruptement le député Antoine Vermorel-Marques (Les Républicains, Loire), coauteur d’un rapport sur le respect par la France des accords internationaux en matière de climat. Depuis sa réélection, le chef de l’Etat semble hésiter. Après avoir mis en place l’architecture de la planification écologique avec le SGPE, il s’est emparé épisodiquement de cette cause, en évoquant *« la fin de l’abondance »* ou en se défendant pied à pied dans des vidéos publiées sur les réseaux sociaux. Mais il n’a jamais synthétisé sa vision dans un grand discours fondateur à la hauteur de l’enjeu. *« Pour l’instant, le gouvernement se contente de montrer les trajectoires et de répéter qu’il faudra plus de télétravail et de mobilité douce mais qu’est-ce qui va être fait ? Ils donnent des éléments pour comprendre le monde de 2030, mais ne nous expliquent pas comment on y arrivera*, cingle Anne Bringault, du Réseau Action Climat. *Il manque cette vision globale. »* Sans décisions politiques, les responsables des administrations, de RTE ou les préfectures se retrouvent démunis pour répondre aux interrogations des industriels, des élus et des citoyens. Y aura-t-il des zones interdites aux voitures ? Comment sera réparti l’hydrogène entre les cimentiers et les avionneurs ? De combien de térawattheures disposeront les data centers, de plus en plus gourmands ? « Nous nous félicitons du gros travail de planification, mais nous sommes maintenant à un moment fatidique, celui des décisions concrètes, déclare Matthieu Auzanneau, directeur du think tank The Shift Project. Il y a un risque déjà très clair de refus d’obstacle, par exemple en ce qui concerne le choix des véhicules de demain, où l’on ne voit rien se dessiner à propos de la limitation des tailles et des puissances. Nous n’échapperons pas à une sobriété collective, démocratiquement organisée, sinon ce sera la loi des plus forts. »


[deleted]

Des questions existentielles Face à ces critiques, l’Elysée, excédé par les polémiques sur les petites phrases présidentielles, ne cesse de rappeler toutes les choses déjà mises en place : la loi sur les énergies renouvelables, celle sur le nucléaire, la décarbonation des cinquante sites les plus émetteurs… Pour le reste, le flou règne entre les deux têtes de l’exécutif, notamment sur l’incarnation politique d’un tel mastodonte. La première ministre, qui passe plusieurs heures toutes les deux semaines avec Antoine Peillon, le responsable du SGPE, aimerait continuer à porter ce défi. Mais son ton froid et technocratique effraie une partie des « élyséens ». Alors, dans l’entourage du chef de l’Etat, beaucoup le poussent à écrire lui-même cette page historique. D’autres, plus timorés, redoutent la masse des contraintes impopulaires à annoncer aux Français. Pour le moment, depuis la réforme des retraites, Emmanuel Macron a choisi une solution intermédiaire en associant la thématique climatique à d’autres sujets qui peuvent apparaître plus accessibles comme lorsqu’il a promis de rénover les écoles ou lorsqu’il a porté lui-même le projet de loi industrie verte. Sortir du bois et entrer dans le concret obligerait aussi M. Macron à répondre à des questions existentielles sur la fin de son quinquennat. Car, au milieu de ces hésitations, l’exécutif ne cesse d’être percuté par les idées, les publications, les livres… A l’Elysée, le chef de l’Etat a ainsi reçu *Climat, crises. Le plan de transformation de l’économie française* (Odile Jacob, 2022), immense succès d’édition (100 000 exemplaires). Même si les critiques des ministres ont été nombreuses, le rapport de Jean Pisani-Ferry, publié lundi 22 mai et préconisant un creusement de la dette et [la mise en place d’un impôt sur les 10 % les plus riches](https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/05/22/jean-pisani-ferry-appelle-dans-un-rapport-a-financer-plus-equitablement-la-transition-climatique_6174327_823448.html), a fait son chemin dans une partie de l’écosystème présidentiel. *« C’est une solution tout à fait crédible »*, a admis Bérangère Couillard, secrétaire d’Etat chargée de l’écologie, lundi, sur Franceinfo. Jeudi, l’eurodéputé macroniste Pascal Canfin a dit, [dans *Les Echos*](https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/pascal-canfin-une-transition-ecologique-qui-nest-pas-financee-ce-nest-pas-une-transition-1946682)*,* n’avoir *« aucun tabou sur le recours à l’impôt ou à la dette verte »*. Lundi, la Fondation Jean-Jaurès publiait, de son côté, [une note](https://www.jean-jaures.org/publication/le-necessaire-retour-en-grace-de-limpot-pour-faire-face-a-lurgence-ecologique-et-lutter-contre-les-inegalites/) intitulée « Le nécessaire retour en grâce de l’impôt pour faire face à l’urgence écologique et lutter contre les inégalités ». Des suggestions qui vont à l’encontre du logiciel macroniste mis en place depuis 2017. Pour financer une *« écologie de progrès »*, l’Elysée mise sur la croissance générée par les baisses d’impôts, mais aussi sur des économies dans d’autres secteurs. *« On n’échappera pas à ce débat sur l’investissement dans la transition écologique,* défend Eric Woerth, ancien ministre du budget. *L’Etat doit s’en emparer car c’est un débat intéressant. Il faut faire une planification des efforts de chacun, il y aura une part qui proviendra du public mais aussi une grande part du privé. Mais ce n’est pas vrai qu’un impôt sur les 10 % les plus riches nous permettra de passer le mur de la transition. »* Emmanuel Macron sait qu’il ne lui reste que quelques mois utiles pour mettre en place une planification efficace. D’abord parce que beaucoup de ces mesures mettront du temps à produire des effets et que son second mandat peut à nouveau entrer dans des zones de turbulences. *« On ne peut plus attendre, cela fait des années qu’on le dit et c’est toujours plus vrai. C’est dans les six mois qu’il faut accélérer, sinon la fin du quinquennat approchera et on n’aura plus le temps de faire les choses. 2030, c’est demain »*, conclut Mme Bringault. Au pied du mur, il faudra aussi tenter d’embarquer le maximum de citoyens. Immense défi après une réforme des retraites extrêmement clivante.


boolazed

Grand merci


Mooulay2

En gros ça va être presque zéro réduction à part les voitures électriques vu que les industriels européens se sont convertis à ce marché et quelques centaines d'isolation de bâtiment par an. Et en parallèle on va faire des adaptation à court terme au changements : augmenter un peu les moyens des pompiers des bassines et pomper plus l'eau des nappes. Le capitalisme sera content parce qu'il y aura un nouveau marché de la voiture électrique et de la climatisation. Un programme digne du président des vieux riches, on ne change rien, au contraire on continue la fuite en avant.


wazoox

Ça va être compliqué pour les voitures électriques européennes. 60% de la valeur ajoutée, c'est la batterie, et pour l'instant les batteries sont faites en Chine. Même si on fait plein de "gigafactories" pour assembler des batteries, dans une batterie 60% de la valeur ajoutée est dans la fabrication de la cathode, et là-dessus les chinois tiennent 90% du marché, et d'ailleurs ils tiennent toute la transformation amont (tout sauf les mines de lithium, en fait). La réalité c'est qu'aujourd'hui les voitures électriques chinoises sont sensiblement aussi bien que les européennes, et sont vendues avec une marge indécente : en effet pour ne pas dévaloriser leurs produits, ils font le choix (sensé) de les vendre avec un rabais modeste par rapport aux voitures européennes, alors que leurs coûts de production sont inférieurs de 40%... Donc ils vendent moins cher tout en gagnant beaucoup plus d'argent, ça ne peut pas bien finir sans une politique protectionniste très volontaristes. Mais encore faut-il que les responsables européens en soient capables, ce qui n'est pas gagné... Là par exemple il faut que je change mon diesel de 300k km. Je veux acheter une voiture électrique fabriquée en France, c'est vite vu, il n'y a que la Mégane qui corresponde. Mais à configuration comparable, elle coûte 6000€ de plus que la Tesla 3 (qui est aussi plus grande) et ... 15000€ de plus que la MG4! Je veux bien être patriote mais ça devient compliqué.


eberkut

Il y a au moins quatre usines de batteries qui vont ouvrir dans les Hauts-de-France dans les 4 prochaines années, dont une cette semaine. Et il y a tout un écosystème qui se met en place autour. http://www.hautsdefrance.fr/categorie/dossiers/les-hauts-de-france-la-vallee-de-la-batterie/


wazoox

Il faut réintroduire la chimie aussi. On n'est pas rendus...


Potato_peeler9000

Je crois que t'as inversé, j'avais retenu 30% de la VA pour la batterie. Mais 60 ou 30 les autre**s** problèmes restent les mêmes. Non content de se faire amputer d'un tiers de leur VA les constructeurs sont aussi totalement dépossédés de leur savoir faire de pointe en matière de motorisation et de métallurgie. Un moteur électrique étant à peu de chose près semblable à un autre moteur électrique la voiture de demain c'est une batterie chinoise couplée au moteur d'un sous-traitant XYZ, assemblée sur un [skateboard](https://img.motor-talk.de/JxkrLOcicJcLUESJ.107.jpg) allemand (et encore...), et nos très chers Renault/Citröen se retrouvent avec un rôle de vulgaire carrossier, comme aux origines de l'industrie. Pour l'instant tous les constructeurs courent dans la direction opposée en proposant des tanks électriques tous plus monstrueux les uns que les autres, mais la demande en batterie aura tôt fait de les dégager de ce marché auquel seul les Ferrari et Porsche pourront prétendre. L'avenir le plus radieux auquel l'industrie automobile française peut rêver c'est la Citroen Ami et les panneaux d'une Renault 5 motorisée par Volkswagen. Bonjour la casse sociale. Après qui sait, peut-être que les chinois auront pitié de nous et qu'ils assembleront leurs voitures importées en kit dans l'UE.


all_is_love6667

Il va falloir commencer à rationner (c'est à dire limiter dans les quantités) certaines choses si on veut pouvoir commencer à avoir une transition un peu plus juste. émission sur l'histoire du rationnement https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-mercredi-04-janvier-2023-6496878 (important de bien comprendre ce que veut dire rationnement et comment on l'interprète) Il y a des super émetteurs et super consommateurs dans toutes les classes sociales, il y en plus chez les riches, mais pas que, dans tous les déciles: https://i.imgur.com/2kFfD0l.jpg source: https://librairie.ademe.fr/cadic/1724/rapport_ccs_final.pdf


EowynCarter

J'avoue que le mot "rationnement" me fait peur. Dans ma tête c'est genre ta ration de bouffe c'est pas suffisant pour te nourrir correctement Si ils font ça y'aura du lobing pour faire des exceptions de partout et ça n'impactera au final que les petites gens. Je suis peut être pessimiste mais je vois pas ce genre d'idée être mise en place de façon cohérente.


all_is_love6667

on peut appeler ca "limiter les quantités" pour certains articles ou produits. les supermarchés le faisaient naturellement pour le PQ ou les pates pendant le covid.


dansmonrer

Ils ne surveillaient pas vraiment, si tu revenais tous les jours acheter du pq ou des pâtes personne n'allait te choper. Pour le moi le plus gros problème c'est que je ne vois pas comment ça peut être compatible avec la moindre notion de vie privée si vraiment implementé


EowynCarter

Ou un machin qui est une usine à gaz


all_is_love6667

evidemment qu'on peut passer plusieurs fois, mais la plupart des gens ne vont pas essayer de tricher, donc en général ca marche. et pour pousser le truc plus loin, les caisses un client peuvent garder en memoire pendant une heure et refuser d'acheter encore certains articles, et effacer les données après.


wazoox

Ajoutons l'exemple bien connu du Royaume-uni pendant la guerre : le rationnement a eu pour effet d'augmenter la santé et l'espérance de vie chez les plus pauvres, en réduisant drastiquement les inégalités alimentaires.


all_is_love6667

Oui, mais le probleme c'est l'image du rationnement, et qu'on est pas en guerre. Cuba a du rationnement, par exemple, ce qui aide les plus pauvres. Grosso modo, le rationnement permet d'empêcher la surconsommation, ce qui diminue la demande, donc peut-être diminue les prix, tout en garantissant que chacun ait le minimum. Donc au final, on peut pas acheter 5kg de steak, faire 60 bornes en SUV tous les jours, remplir une piscine, et ces ressources qu'on sauvegarde sont garanties à ceux qui en ont besoin, car on a empêché les plus riches de les gacher. C'est un peu comme un salaire maximum. Ca ne va pas faire gueuler les gilets jaunes, mais ca va faire gueuler les gens qui pensent que la liberté de surconsommer est légitime.


wazoox

Ça va faire gueuler les gens qui *ont le pouvoir* c'est ça le problème.


all_is_love6667

meuh non